Diana Di Clemente

Mon parcours

Mon parcours

diana di clemente

1er mars 2020

Je m’appelle Diana Di Clemente.

Je suis née à Lausanne en 1973 d’une mère suissesse et d’un père italien.

J’ai grandi dans la manipulation, la violence physique et la violence verbale. J’ai subi l’inceste et l’abus, physique et moral. Comme chaque être humain sur terre, j’ai vécu les 5 blessures fondamentales de l’âme : le rejet, l’abandon, l’humiliation, la trahison et l’injustice.

Comment ai-je traversé mon enfance ? Je me suis dissociée, pour survivre.

Comment ai-je entamé ma vie d’adolescente ? En écoutant mon intuition, ma petite voix intérieure qui me disait que la vie ce n’était pas ça, qu’il y avait autre chose.

Dès l’âge de 16 ans, j’ai travaillé sur mon développement personnel. Je voulais plus que tout faire de l’ordre à l’intérieur de moi. Un jour, je suis tombée sur un livre qui parlait de notre puissance intérieure, de cette capacité que nous avons tous, à l’intérieur de nous, de pouvoir changer les choses. Ce livre a été un déclencheur. Il m’a ouvert les yeux. Je me souviens m’être dit : « Ha mais alors, en fait, il existe un autre monde ? ».

Du coup, je me suis plongée dans les livres pour comprendre, apprendre, grandir et trouver un peu de réconfort et des réponses. Dès que j’ai eu mon premier salaire, je suis allée me faire accompagner, auprès de thérapeutes bienveillants qui m’ont aidée à réaliser que je n’étais pas nulle, bête, moche, « la honte de la famille » (parce que je j’avais préféré faire un apprentissage plutôt que d’aller à l’université), ou celle qui doit toujours se mettre de côté pour laisser passer les autres. Ça m’a aidée à grandir et à me construire.

Depuis ce temps-là, je suis passionnée par le développement de l’être humain et la communication entre les êtres humains.

Ma vie d’adulte ? J’ai forcément reproduit les schémas de mon enfance. J’ai suivi les codes et très bien gardé les étiquettes que l’on m’avait collées sur le dos. Et j’ai surtout tout fait pour être aimée par les autres, par peur du rejet et de l’abandon.

J’ai traversé les étapes et je me suis plantée, beaucoup. La vie c’est ça : on avance, on essaie, on expérimente, on tombe, on se relève et on continue. Des fois sur le bon chemin, des fois pas.

L’univers met toujours sur notre route les expériences qui nous font grandir. Et si on n’apprend pas de ces expériences ? Les schémas se reproduisent.

Les livres et les thérapeutes c’était bien. Mais il me manquait un petit quelque chose. Et comme la vie est toujours bien faite, la synchronicité a une nouvelle fois opéré. Un jour je suis tombée sur un flyer qui parlait d’une formation en PNL. Eureka ! C’est la technique de cet auteur américain qui parlait du pouvoir illimité ! Je me suis inscrite pour explorer en vrai, avec d’autres personnes. Découvrir, apprendre, partager, grandir, encore. Et puis voilà que durant cette formation, le professeur me dit : « Diana, tu as un don pour accompagner les gens. Tu es faite pour ça. Fais-en ton métier ».

Alors j’ai accompagné. J’ai essayé, pendant 3 ans. Mais c’était trop tôt. Je ne me sentais pas légitime. Je me trouvais trop jeune, malgré les retours positifs de mes clients. J’ai donc décidé de retourner travailler en entreprise et je me suis dit « Le coaching ? J’y reviendrai dans 10 ans ». Et mon inconscient a retenu ça. 10 ans plus tard, il a toqué à ma porte et m’a rappelé la promesse que je m’étais faite.

Je me suis ainsi replongée dans ce monde magique, inscrite à des formations, et, animée par cette passion et connectée à ma lumière intérieure, j’ai recommencé à coacher.

Depuis 2017, j’ai la chance de pouvoir accompagner et guider ceux qui en ont besoin sur le chemin qu’ils souhaitent tracer et c’est un bonheur immense.

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